Selon une étude de l'université d'Oxford, qui développe le vaccin avec le groupe anglo-suédois, un espace de 45 semaines entre les deux doses rendrait la réponse immunitaire plus efficace. Une découverte qui pourrait bénéficier aux pays touchés par des problèmes d'approvisionnement.
Source : https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmac...
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